Un effet « Parmentier »pour la vaccination anti-COVID?


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Le 4 Janvier 2021

Ce soir Marc Menant nous a raconté l’histoire du roi Dagobert qui avait mis sa culotte à l’envers et qui voulait la remettre à l’endroit.

Au même moment est apparu une phrase de Olivier Véran qui explique que nous atteindrons « un bon taux d’immunité collective sans passer par la vaccination obligatoire ».

Enfin ! Il nous parle de l’immunité collective qui est certainement le meilleur moyen d’arrêter cette pandémie au lieu de nous menacer d’un éternel confinement.

La vaccination est maintenant le meilleur moyen de la compléter et il a raison de cibler en priorité les plus fragiles, tous les personnels soignants, les enseignants et toutes les personnes au contact du public dans les services publics.

Certains disent que, comme cela a déjà été fait autrefois, il y a des raisons commerciales inavouables.

Peut-être que plus simplement les commandes ne suffisent pas à la demande.

En tout cas cela a un effet « Parmentier » car les médias qui faisaient les gorges chaudes avec les anti-vaccins, le font maintenant avec ceux qui veulent une vaccination pour tous quasi-obligatoire.

En tout cas pour que la vaccination soit bien acceptée, il faudrait que tous les membres du gouvernement montrent l’exemple , avec leur personnel, les élus, tous ceux qui tiennent notre avenir entre leurs mains, et certainement les patrons d’entreprise, les médecins dans tous les établissements de soins (hôpitaux, cliniques, dispensaires,…).

Pour qu’elle soit aussi rapide que possible il fudraitt que tous les moyens soient utilisés de façon simple sur la base du volontariat, dans la mesure des stocks disponibles, en utilisant plusieurs types de vaccins pour des raisons pratiques avec un suivi des effets secondaires et du résultat par un simple document à remplir sur le moment et à distance car il faudra bien comparer la morbidité et la mortalité secondaire par rapport à la mortalité qui ne dépasse pas les 0,05%.

Tous les soignants peuvent vacciner : médecins généralistes, consultations externes des hôpitaux, dispensaires, infirmiers à domicile, pharmaciens… , et même de façon gracieuse à l’occasion des passages déjà prévus pour toute autre raison car leurs carnets de rendez-vous est déjà plein et l’argument du coût supplémentaire est fallacieux. Le nombre de consultations supplémentaires seraient à la marge.

Cette organisation serait d’ailleurs tout aussi valable pour la vaccination contre la grippe.

Enfin ce serait un argument « massue » que d’affirmer que la vaccination permettra certainement d’arrêter les mesures de confinement et de couvre-feu.

Pour moi, c’est une certitude à condition de cesser cette mascarade de confinement à la carte qui fait mourir économiquement notre pays et d’investir massivement dans une meilleure organisation de notre système de soins et surtout d’améliorer la prévention en respectant partout les bases de l’hygiène, ne serait-ce que par l’obligation de toilettes propres dans toutes les entreprises et les établissements ouverts au public, en commençant par les écoles.

Quant à l’argument du principe de précaution qui fait probablement peur aux décideurs politiques et bride leurs choix, c’est un véritable non-sens, car de toute façon ils ne seront jamais condamnés même si ils sont coupables en raison de la longueur des procédures et du passage au Conseil d’État qui a été créé par Napoléon pour protéger le gouvernement, et qui le fait très bien allant jusqu’à même interpréter la loi surtout quand elle n’est pas écrite de façon claire, peut-être de façon préméditée.

Le 4 Janvier 2021

Ce soir Marc Menant nous a raconté l’histoire du roi Dagobert qui avait mis sa culotte à l’envers et qui voulait la remettre à l’endroit.

Au même moment est apparu une phrase de Olivier Véran qui explique que nous atteindrons « un bon taux d’immunité collective sans passer par la vaccination obligatoire ».

Enfin ! Il nous parle de l’immunité collective qui est certainement le meilleur moyen d’arrêter cette pandémie au lieu de nous menacer d’un éternel confinement.

La vaccination est maintenant le meilleur moyen de la compléter et il a raison de cibler en priorité les plus fragiles, tous les personnels soignants, les enseignants et toutes les personnes au contact du public dans les services publics.

Certains disent que, comme cela a déjà été fait autrefois, il y a des raisons commerciales inavouables.

Peut-être que plus simplement les commandes ne suffisent pas à la demande.

En tout cas cela a un effet « Parmentier » car les médias qui faisaient les gorges chaudes avec les anti-vaccins, le font maintenant avec ceux qui veulent une vaccination pour tous quasi-obligatoire.

En tout cas pour que la vaccination soit bien acceptée, il faudrait que tous les membres du gouvernement montrent l’exemple ,
avec leur personnel, les élus, tous ceux qui tiennent notre avenir entre leurs mains, et certainement les patrons d’entreprise, les médecins dans tous les établissements de soins (hôpitaux, cliniques, dispensaires,…).

Pour qu’elle soit aussi rapide que possible il fadrait que tous les moyens soient utilisés de façon simple sur la base du volontariat, dans la mesure des stocks disponibles, en utilisant plusieurs types de vaccins pour des raisons pratiques avec un suivi des effets secondaires et du résultat par un simple document à remplir sur le moment et à distance car il faudra bien comparer la morbidité et la mortalité secondaire par rapport à la mortalité qui ne dépasse pas les 0,05%.

Tous les soignants peuvent vacciner : médecins généralistes, consultations externes des hôpitaux, dispensaires, infirmiers à
domicile, pharmaciens… , et même de façon gracieuse à l’occasion des passages déjà prévus pour toute autre raison car leurs carnets de rendez-vous est déjà plein et l’argument du coût supplémentaire est fallacieux. Le nombre de consultations supplémentaires seraient à la marge.

Cette organisation serait d’ailleurs tout aussi valable pour la vaccination contre la grippe.

Enfin ce serait un argument « massue » que d’affirmer que la vaccination permettra certainement d’arrêter les mesures de
confinement et de couvre-feu.

Pour moi, c’est une certitude à condition de cesser cette mascarade de confinement à la carte qui fait mourir économiquement
notre pays et d’investir massivement dans une meilleure organisation de notre système de soins et surtout d’améliorer la prévention en respectant partout les bases de l’hygiène, ne serait-ce que par l’obligation de toilettes propres dans
toutes les entreprises et les établissements ouverts au public, en commençant par les écoles.

Quant à l’argument du principe de précaution qui fait probablement peur aux décideurs politiques et bride leurs choix, c’est un véritable non-sens, car de toute façon ils ne seront jamais condamnés même s’ils sont coupables en raison de la longueur des procédures et du passage au Conseil d’État qui a été créé par Napoléon pour protéger le gouvernement, et qui le fait très bien allant jusqu’à même interpréter la loi surtout quand elle n’est pas écrite de façon claire, peut-être de façon préméditée.

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