L’appel à la nature provoqué par le COVID-19 pourrait devenir utile

Le Confinement pour ralentir la pandémie COVID-19 est à géométrie variable, car il est quasiment impossible à réaliser dans les camps de réfugiés et les quartiers les plus défavorisés.

Presque plus personne ne parle d’immigration en ce moment, en tout cas le sort des immigrés n’intéresse pas les médias, ni celui des jeunes des banlieues qui sont à la limite de l’insurrection.

D’un autre côté les paysans appellent à l’aide car les milliers de travailleurs saisonniers dont ils ont besoin ne sont pas venus.

Il faudrait sortir les immigrés de leurs camps et les envoyer dans nos campagnes, et faire de même avec les jeunes désoeuvrés à partir de 16 ans, de toutes catégories sociales.

Cela permettrait de les sortir de leur univers habituel et de leur faire connaître nos campagnes qui ont bien besoin d’être réanimées, tout en participant de façon active à la sauvegarde de toute la population.

C’est une occasion unique de les rendre utiles en rendant service à tout le monde sur la base du volontariat, une forme de service civique qu’il faudrait d’ailleurs étendre plus tard sous la forme d’un vrai service national de 1 à 2 ans pour tous les jeunes à partir de 16 ans.

Cette mesure exceptionnelle pourrait aussi être étendue aux amendes pour non-confinement, car au lieu d’être sanctionnés au porte-monnaie, les contrevenants récidivistes pourraient choisir un travail d’intérêt général

Cela pourrait être appliqué demain par les préfets sur le territoire national.